Sous le gris du ciel galope un cheval blanc, sur la grève, des rêves de chevauchées se suivent au rythme des foulées engagées.


Un cheval blanc venu de la mer marchant comme un Seigneur de la Terre, 
laissant son écume sur le rivage, où tant d'amours d'été ont fait naufrage
sous les cieux immenses, et, sans âges de nos plages d'hivers
 

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Rassembler n'empêche pas d'étendre la foulée à droite, puis à gauche. Mais que se passe t'il sous le cavalier ? Plier et laisser passer. Entre l'inconfort et le confort. Je ne regrette qu'une chose, c'est qu'il y ait autant de cavaliers colériques. La colère est un manque de maîtrise.

Les grands esprits se rencontrent.

Quelle que soit votre direction, choisissez la lumière, ne restez pas seul dans la nuit des informations